S’il n’a pas pu prendre part aux phases finales en raison d’une blessure aux cervicales, il fut, aux yeux du grand public, le visage emblématique de la bringue qui suivit le titre héraultais, au gré de ses frasques spontanées sur les réseaux sociaux. Lesquelles n’ont pas déclenché chez lui une vocation d’influenceur mais ont véhiculé une image très «rugby» et bon enfant, qui a valu au club montpelliérain toutes les campagnes de com’ du monde…
On vous a quelque peu perdu de vue ces dix derniers jours…Où en sont vos festivités ?
Terminées ! Collectivement, la bringue du titre s’est terminée à Barcelone. Dans la foulée, je suis parti au Portugal mais c’était pour un voyage que j’avais prévu depuis presque un an avec Yvan Watremez, pour un festival. Depuis, je suis rentré à la maison et pour ce qui est de la fête, j’ai tout coupé. Même si nous sommes toujours en vacances, je me suis déjà remis au boulot, comme l’immense majorité de mes coéquipiers…
De crainte de payer certains excès à la reprise ?
On a fêté le titre comme il se devait, parce qu’on le méritait. Des joueurs comme Guilhem Guirado, qui ont énormément d’expérience, nous ont dit et répété qu’un titre était quelque chose qui pouvait n’arriver qu’une fois dans une carrière et qu’il fallait le savourer et en profiter à sa juste valeur. Bah voilà, on l’a savouré, ça n’a pas été des paroles en l’air. On a fait ça comme il faut, dans un esprit bon enfant. Tout ce qui est ressorti des conneries qu’on a pu faire et dire, c’était juste la résultante d’un état d’esprit qui perdure depuis un an et demi et notre titre de Challenge Cup. Montpellier, c’est juste un groupe qui vit bien, qui est heureux d’être ensemble sur le terrain et en dehors. Notre solidarité, on l’a démontrée en bringue mais aussi dans notre style de jeu, sur le terrain. Quand ton point fort est la défense, ce n’est pas anodin…
Vous imaginez bien que vous n’êtes pas interrogé par hasard. À travers vos vidéos, votre apostrophe à Vincent Moscato, vous êtes devenu le visage emblématique de la bringue du MHR…
Avec Marco Tauleigne, quand on fait cette intervention vis-à-vis du Moscato Show, on a fait ça en rigolant, pas parce qu’on était dans la haine ou quoi que ce soit, loin de là. Moi, je suis le premier à écouter Moscato, il me fait rire depuis que je suis jeune. Ce qui s’est passé, c’est qu’on avait un peu parlé entre nous avant les demies. Guilhem Guirado avait été invité dans une émission où, en gros, ils ne lui avaient posé que des questions sur les autres : Castres, Clermont, Toulon, alors qu’on était premiers depuis trois ou quatre mois. On avait eu l’impression de passer pour les farceurs du coin, quoi ! On en a rigolé, on l’a critiqué, mais au fond, je crois qu’on était tous très contents de cette interview… Ça nous a au moins permis d’aborder ces phases finales dans l’anonymat. Durant la saison, il n’y a jamais eu de coup de gueule, on n’a jamais créé de fameux « buzz » ou quoi que ce soit. Le MHR a avancé dans l’ombre, et ça lui allait très bien.
Ce fut moins le cas après le titre, notamment sur les réseaux sociaux…
On a lâché les chiens et fait un peu les cons, parce que c’était aussi une façon de faire partager notre après-titre avec nos supporters. Mais je pense que tout ce qui s’est passé autour de nos festivités est venu naturellement. Rien n’a été calculé, réfléchi. Ce n’était pas seulement faire les cons pour faire les cons, mais aussi montrer aux gens que nous sommes humains. On a fait la fête avec nos supporters, bien sûr, mais on ne peut pas non plus être toute la semaine avec eux, on est aussi obligés de se retrouver un peu entre nous. Dans ces moments-là, les réseaux sociaux étaient aussi une manière de garder un lien avec eux, de leur faire partager notre bonheur. Beaucoup de gens m’ont écrit en me disant : « énormes, tes vidéos, on a l’impression d’être avec vous en soirée ! » Je ne l’avais pas fait dans ce but, c’était quelque chose d’intuitif et spontané, mais ça fait du bien d’entendre ça et de montrer aux gens une autre facette de nous.
Au sujet de vos vidéos, on se demandait si Vincent Colonna vous avait transmis une proposition de duo pour votre reprise de sa Goffa Lolita…
Non, pas encore… Ce qui est drôle, c’est que je ne suis pas du tout celui qui écoute le plus cette musique, c’était surtout celle de Vincent Giudicelli et Anthony Bouthier qui la foutent tout le temps dans le bus. Quand j’ai tourné cette vidéo sur la plage, j’étais à deux grammes… Peut-être que j’ai simplement eu cette chanson en tête à ce moment-là parce que je l’avais entendue 300 fois dans la journée… C’est marrant, mais même si on a fait quinze jours de fête, j’ai l’impression que la bande-son se résume à deux musiques : celle-ci et « Oh pétard » des mecs de Mauguio (l’Art à Tatouille de Roland Ramade, N.D.L.R.)… Concernant ce dernier titre, d’ailleurs, j’ai l’impression qu’on l’a un peu relancé !
Quel qu’il soit, le fait de disposer d’un « hymne » officieux n’est toutefois pas anodin, dans la construction de l’identité d’une équipe…
Je me suis tué à essayer de le faire comprendre à la presse dans nos après-matchs depuis deux ans : quand j’ai signé au MHR, tout le monde m’a dit « n’y va pas, Montpellier c’est le star-system, des étrangers, tu vas te faire chier, il n’y a pas une bonne ambiance…» Et franchement, c’était l’opposé… Quand je suis arrivé, je l’ai eue dure pendant quatre mois parce qu’il y avait un manager qui m’avait pris en grippe et qui ne voulait plus entendre parler de moi. Pendant cette période, c’est le vestiaire qui m’a permis de tenir. Par exemple, à mon arrivée, je n’ai pas trouvé tout de suite de maison, et je suis allé vivre pendant trois semaines chez Benoît Paillaugue alors qu’on ne se connaissait pas du tout ! Il m’a accueilli chez lui parmi ses enfants, sa femme, comme ça, alors qu’il ne savait absolument pas quel genre de mec j’étais, hormis deux ou trois échos qu’il avait pu entendre à droite ou à gauche. Là, je me suis dit « Waouh, en fait, Montpellier, ce n’est pas du tout ce qu’on s’imagine ».
L’image du MHR laissait franchement à désirer depuis quelques années. Avez-vous conscience qu’au travers de votre titre, mais surtout de votre fête et d’une demi-douzaine de vidéos, vous avez offert à votre club la meilleure campagne de qu’il pouvait imaginer ?
Clairement. Vous le savez peut-être, Fulgence Ouedraogo va entrer à la com’du club à partir de la saison prochaine, en tant qu’ambassadeur. À la base, c’était pour travailler à changer l’image du MHR. Et pendant que nous étions à Barcelone, il m’a dit : « en fait, je vais avoir un emploi fictif à cause de toi. En trois jours, tu as changé l’image du club alors qu’on n’avait jamais réussi à la modifier pendant dix ans ! » (rires) Du coup, je lui ai demandé de me filer la moitié de son salaire, mais il n’avait pas l’air tout à fait d’accord.
Cette popularité se mesure-t-elle en termes de followers, par exemple ?
Oui, bien sûr. Mais moi, franchement, les réseaux sociaux, je m’en fiche ! J’ai un compte Instagram, mais ce que je mets dessus, c’est simplement des photos entre copains. Pas des trucs style « jour de match », blablabla… Je m’en fous, de tout ça. J’ai créé un compte pour partager mes trucs avec mes copains, je ne m’en sers pas pour faire de la com’. Je ne dis pas qu’un jour je ne risque pas de changer de caractère et ma manière de penser, mais ce truc, je l’ai pris comme quelqu’un lambda qui veut partager des trucs avec des gens qui le suivent. Je le fais naturellement et manifestement, beaucoup de gens se sont reconnus dans mes conneries.
C’est en faisant n’importe quoi qu’on devient n’importe qui, en somme…
(Il se marre) En plus, Rémi Gaillard vient de Montpellier. Ça colle, c’est parfait.
Les réseaux sociaux ont aussi un revers. Par exemple, lors du titre de l’Usap en Pro D2 en 2018, vous aviez suscité une petite polémique lors de la célébration, avec une vidéo où un supporter vous avait filmé en train de chambrer vos adversaires grenoblois. Avez-vous cherché à éviter ce genre de malentendu cette année ?
Pas vraiment. (Rires) Parce qu’au final, quand nous sommes montés sur l’estrade lors de notre retour à Montpellier, j’ai refait la même chose… Heureusement, c’est passé plus inaperçu parce que la médiatisation du retour du Bouclier à Montpellier était un peu moindre que pour la remontée de l’Usap en Top 14. Il devait y avoir entre 5 000 et 10 000 personnes sur la place de la Comédie, alors qu’il y en avait 25 000 à Perpignan… Ça n’avait rien à voir. Je n’étais pas chaud pour le faire, mais là encore, c’est Fufu qui m’a branché en me disant : « Allez, je pars à la retraite, tu peux bien faire ça pour moi…» J’ai chanté vite fait pour lui faire plaisir, c’est passé inaperçu cette fois et c’est tant mieux, mais je tiens à dire que je n’ai aucune animosité envers personne. C’était un cri à la con, mais il faut relativiser. Ce sont des choses qui sont dites dans l’euphorie, il n’y a évidemment rien contre les adversaires, et surtout pas de manque de respect vis-à-vis des Castrais ou qui que ce soit d’autre.
Une image ne se maîtrise pas toujours. Ne craignez-vous pas désormais qu’on parle davantage de vous pour vos exploits en dehors du terrain plutôt qu’en tant que joueur ?
C’est vrai qu’on m’a catalogué roi de la troisième mi-temps, comme si tout le monde avait oublié que j’ai joué 25 matchs dans la saison, que je me suis blessé juste avant les phases finales et que j’aurais même pu jouer la finale… Je reste un joueur de rugby avant tout, je ne veux pas non plus passer pour un pitre.
Un joueur champion de France après avoir été titulaire toute la saison, mais sans avoir disputé la moindre minute en phases finales. Comment les avez-vous vécues ?
Très bizarrement. Quand je me suis blessé à La Rochelle en quart de finale de Champions Cup, le premier diagnostic était que je risquais de porter un corset pendant trois mois parce qu’une de mes vertèbres était fracturée. Ça ne s’annonçait pas drôle… Finalement, une IRM complémentaire a révélé qu’il ne s’agissait que d’une grosse entorse, donc ça m’a donné l’espoir de rejouer avant la fin de la saison. Ma déception s’est transformée en motivation, je suis venu tous les matins au stade de 7 h 30 à 18 heures, en m’y filant comme un âne pour revenir.
En étiez-vous proche ?
Physiquement, j’étais prêt. Deux semaines avant les demies, je me suis testé, et les stats disaient que j’étais pratiquement en meilleure forme qu’avant ma blessure. Mais une semaine avant le match contre l’UBB, lors d’une opposition sur ballon porté avec les avants, j’ai fait une « tête contre tête » avec Fufu et j’ai immédiatement ressenti une grosse douleur dans les cervicales. Là, je me suis dit : « ce n’est pas possible, je ne peux pas jouer une demie dans cet état ». Là, le staff m’a dit de rester au frais et de continuer les soins en cas de qualification pour la finale. Au lendemain de notre qualification contre l’UBB, j’étais à l’entraînement avec l’équipe, tout allait bien. Mais le soir, je me suis dit que j’allais me faire un bonus de renforcement musculaire en plus…
Et ?
J’ai réalisé tous les exercices prévus dans mon protocole, mais sur la dernière série du dernier exercice, je me suis flingué. Bloqué comme jamais, à cinq jours de la finale… J’ai espéré jusqu’au bout mais à 48 heures du coup d’envoi, j’ai dit aux coachs de laisser tomber, que ce n’était pas possible pour moi. J’étais déçu, bien sûr, mais la douleur était telle qu’il n’y a pas la moindre place pour un regret. Ça n’aurait servi à rien car je n’aurais servi à rien, je me serais juste mis en danger. Tout ça mis bout à bout a atténué ma déception.
N’avez-vous pas été tenté de cacher votre blessure pour jouer malgré tout, comme tant d’autres l’ont fait avant vous ?
Cette finale, j’en rêvais vraiment, depuis toujours. Mais à un moment donné, je ne suis pas un abruti. Depuis que je suis gosse, on m’a toujours dit : « si tu n’es pas à 100 %, tu vas pénaliser l’équipe. » Les intérêts des coéquipiers sont plus importants que la performance individuelle. Je n’allais pas, pour mon petit plaisir et pour me dire « j’ai joué une finale du Top 14 », pénaliser l’équipe et me pénaliser tout court. Car au final, s’il avait fallu que je plaque, c’est moi qui serais passé pour un charlot, et qui aurais peut-être coûté très cher à mon équipe. De toute façon, cette question ne s’est jamais posée parce que vraiment, j’avais trop mal. Je ne pouvais pas courir sans souffrir.
Vous sentez-vous pleinement champion, au fond de vous ?
Je sais que j’ai contribué à ce titre même si je n’ai pas joué la finale. Quand tu vois qu’à la fin du match ou que, même plus tôt dans la saison, tes coéquipiers te témoignent de la reconnaissance, c’est tout ce qui importe. Il y a eu des mots dans la préparation de la finale qui m’ont aidé à faire passer la pilule. En plus, je n’étais pas le seul dans ce cas. Je pense à Julien Tisseron, qui s’est tapé tous les matchs et qui s’est blessé lors du même match que moi, à cinq minutes d’intervalle… On s’est consolé en sachant que nous avions compté aux yeux du groupe, qui était fier de nous.
Trois semaines après la finale, vous pouvez nous le dire : pourquoi votre staff vous a-t-il inscrit sur la feuille de match de la rencontre, dont vous n’êtes officiellement sorti qu’à quelques minutes du coup d’envoi ?
Les équipes avaient été annoncées en début de semaine, et j’étais effectivement dedans. Je pense que vis-à-vis du jeune Robert Rodgers, c’était mieux de lui montrer qu’il pouvait à tout moment intégrer la feuille de match, plutôt que d’avoir à gérer sa frustration si j’avais été finalement apte, et qu’il avait dû en sortir… Après, je ne sais pas ce qui s’est passé. Soit ils ont eu la flemme d’enlever mon nom au dernier moment, soit ils ont voulu cacher jusqu’au bout mon forfait pour que les Castrais n’aient pas trop le temps d’analyser mon remplaçant à la vidéo, même si je pense qu’ils n’étaient pas dupes non plus… Voilà, c’était une petite intox à la PSA, quoi.
Vous êtes arrivé au MHR auréolé du titre de champion de Pro D2 avec l’Usap en 2020. Depuis, vous avez gagné la Challenge Cup et êtes devenu international en 2021, désormais champion de France en 2022… Bon choix de carrière, non ?
J’avoue que je ne m’attendais pas à vivre autant de belles émotions en si peu de temps à Montpellier, je pensais que cela allait davantage se construire petit à petit. Au final, tout est arrivé à une vitesse incroyable. Du coup, je ne regrette absolument pas d’avoir quitté mon cocon catalan, ça prouve que j’avais bien senti qu’il y avait quelque chose dans cette équipe à la base. J’avais d’autres opportunités, et je crois que j’ai fait le bon choix. C’est juste extraordinaire, je souhaite ce qui m’arrive à n’importe quel joueur de rugby. Rendez-vous compte : l’an dernier, on jouait le maintien avec le MHR, mais on réussit quand même à se sauver puis à décrocher la petite Coupe d’Europe, et un an plus tard on est champion de France… Le niveau de ce Top 14 est fou ! Quand on voit qu’à la dernière journée, même le dixième pouvait encore se qualifier… D’ailleurs, c’est ce que Guilhem nous a dit : « Les gars, je suis bien content de vous laisser les clés du camion. Maintenant je vais bien me reposer car je ne peux plus suivre le rythme, le championnat est devenu trop dur. »
Au sujet de Guilhem Guirado, que vous avez beaucoup cherché sur les réseaux sociaux…
(Il coupe) C’est lui qui m’a branché en premier, hein !
Vous semblez avoir développé une relation toute particulière… Le connaissiez-vous avant de rejoindre le MHR ?
Je le connaissais parce que je l’avais regardé à la télé mais c’est tout. C’est quelqu’un que j’ai appris à connaître à Montpellier. On s’est vite entendu et sur les derniers mois, c’était un peu comme mon grand frère et aujourd’hui, on est carrément amis. Chaque fois que j’ai besoin de lui, il est là pour moi. En revanche, la réciproque n’est pas vraie, parce que je devais l’héberger la nuit de notre retour de Paris mais j’ai chié dans la colle et il a dû dormir au stade sur la table des kinés ! (rires) C’est ça, le problème avec les petits frères, ils ne sont pas tout le temps là pour assurer… Mais même s’il est rancunier, il ne m’en veut pas, heureusement.
Qu’avez-vous retenu de vos deux saisons avec lui ?
Que c’est un grand joueur mais surtout un grand homme, de par ce qu’il dégage et la confiance qu’il donne. Par exemple, pendant la première semaine de fête, c’est lui qui a organisé le voyage à Barcelone pour tout le groupe, qui s’est démené pour tout le monde alors qu’il aurait tout simplement pu profiter de ces moments de plaisir… Même là, il fédérait encore, en se tapant tous les trucs que personne ne veut jamais faire, à gérer les casse-c… C’est un vrai leader, quoi ! Quand tu as ça dans le sang…
Appréhendez-vous la saison prochaine, dans le sens où les gardiens du temps comme Guilhem Guirado mais aussi Fulgence Ouedraogo ou Benoît Paillaugue ne feront plus partie de l’effectif ?
Clairement. Même avant le début de la phase finale, on avait commencé à en parler entre nous, moi le premier. Je sais bien que chaque année est différente, mais je ne vois pas comment cela ne va pas nous mettre un petit coup. C’étaient les gardiens du temple, comme vous dites, ceux qui étaient là pour gérer les caractères, tenir les joueurs et l’humeur du groupe, dire ce qui allait ou pas… Ce sont trois grosses pertes mais malheureusement, personne n’est éternel. Il faut que le passage de flambeau se fasse, certains sont capables de le reprendre, mais je pense que cela va être dur dans un premier temps. D’autant plus qu’on connaît l’histoire du Top 14 : pour les champions, les saisons qui suivent un titre sont souvent difficiles… C’est vraiment un gros défi qui nous attend. C’est pour ça que même si on a bien profité, bien rigolé, il va falloir vite s’y remettre d’autant que notre préparation sera forcément très courte par rapport aux autres.
Quels seront vos objectifs, à titre personnel ?
Je me suis fait infiltrer mercredi sur les conseils d’un spécialiste, parce que certaines de mes douleurs aux cervicales avaient encore du mal à passer. Alors, mon premier objectif sera de revenir dans le meilleur état de forme et au meilleur niveau possible. Ensuite, on verra bien…
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