Élu meilleur joueur de la demi-finale contre les Harlequins, François Cros a une nouvelle fois montré qu’il était l’un des tous meilleurs troisième ligne de la planète. Que ce soit avec les Bleus ou avec Toulouse, l’absence d’Anthony Jelonch met encore plus en lumière son travail de l’ombre.
Il n’est plus possible de dire “François Cros est sous-côté” tant le troisième ligne toulousain est aujourd’hui mis en lumière. Dans la continuité d’un Tournoi des 6 Nations franchement réussi, il continue d’épater à chacun de ses sorties. Moins spectaculaire que beaucoup de joueurs qui l’entourent dans l’effectif Rouge et Noir, il brille par son efficacité dans les taches de l’ombre, le “sale boulot”. Un aspect du jeu qu’affectionnait particulièrement Anthony Jelonch, toujours en train de se soigner après sa rupture des ligaments croisés.
Dès lors, François Cros travaille un peu pour deux et cela se voit. C’est en tout cas ce que soulignent nos journalistes dans La Troisième Mi-temps. Et comme Anthony Jelonch ne sera pas remis avant la saison prochaine, les Toulousains ont tout intérêt à voir leur flanker international maintenir ce niveau de jeu au moins jusqu’à fin juin…
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